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Actualités - 10/12/2021
Faut-il évaluer la maturité des processus ?
Rubrique Question de la semaine
Par
Mougin Yvon
Il n’y a aucune obligation normative en ce sens. En fait, cela sert en principe à évaluer une progression de la performance d’un processus.
Personnellement, je trouve que la plupart des approches relatives à cette évaluation sont peu fiables, d’abord en raison du choix même des niveaux de maturité. Par exemple, on évoque la reproductibilité qui est contraire à la notion d’initiative et de souplesse. On évoque également le fait qu’il soit maîtrisé, c’est-à-dire que l’on suit ses performances et l’atteinte de ses objectifs. Cependant, on ne discute pas de la manière de choisir les objectifs et les critères de performance. On évoque souvent pour les niveaux supérieurs la notion d’optimisation qui requiert une amélioration permanente de l’efficacité du processus sans se demander systématiquement si cette amélioration est profitable en termes de qualité pour les clients par exemple. Elle est peu fiable car soumise à une évaluation de critères qui ne sont pas toujours le reflet de ce qui compte aujourd’hui dans la recherche d’une performance durable. Par exemple, tout ce qui concerne l’apprentissage et l’acquisition de connaissances, tout ce qui concerne la recherche de l’agilité, la motivation et l’implication des personnels.
Bref, je préfère que les processus évaluent plus simplement et d’une manière permanente leurs progrès en matière de résultats sur des facteurs définis et satisfaisant les parties prenantes que sont les clients internes (qualité) et l’entreprise elle-même (économie). Par exemple : une réduction des délais de livraison et des coûts de production, une amélioration de la qualité des données de sortie, etc.